Vous envisagez de faire une dépense qui dépasse vos moyens financiers mensuels et votre épargne ? Une évidence s’impose : vous allez vous adresser au marché du crédit.
Allez vous adresser à une banque classique ou à un courtier spécialisé en crédit ?
Deux solutions qui offrent des services différents.
À priori, rien de bien difficile
À ceci près que depuis 2012 la situation économique est différente. La crise financière liée au déficit public des pays d’Europe est passée par là et les politiques dites d’austérité pensées par les gouvernements ont un impact indéniable sur le marché du crédit. En effet, l’activité bancaire fait maintenant l’objet de toutes les attentions et en ce domaine, un mot règne en maître : prudence.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le nombre de crédits hypothécaires contractés a diminué en Belgique de 23 % en mars, comparé à mars 2011. En France, sur la même période la chute est vertigineuse : -47 %. Le nombre de demandes de crédits en Belgique a reculé de 20 %. Le montant des crédits octroyés a lui aussi enregistré une baisse moins importante de 9 %. Le montant pour les demandes de crédits s’est pour sa part contracté de 5 % (Le soir en ligne « Baisse des crédits hypothécaires au mois de mars », jeudi 12 avril 2012).
Conséquence ?
Les nouveaux clients du Crédit Populaire Européen l’ont déjà constaté. Cela devient très compliqué d’obtenir un crédit chez votre banquier habituel. Les banques sont de plus en plus exigeantes. Avec cette conséquence préoccupante, le nombre des faillites en Belgique a progressé de 26% sur le premier trimestre 2012.
Il ne serait donc pas étonnant que le consommateur qui avait l’habitude de s’adresser à son banquier habituel soit amené à s’adresser à des courtiers indépendants en crédit pour vérifier les conditions d’accès au crédit et les conditions financières qui lui sont proposées.
Les courtiers en crédit indépendants sont, à la différence des banques, des spécialités du crédit. Leur activité professionnelle repose, quasi exclusivement, sur l’octroi de crédit. Ce qui n’est pas le cas d’une banque qui vit très largement des placements qu’elle fait avec l’épargne de ses clients. En d’autres mots, l’accès au crédit est donc beaucoup plus aisé auprès d’un courtier indépendant.
Les banquiers habituels sont un maillon essentiel de la politique économique et aujourd’hui encore plus qu’hier, ils sont des acteurs catalyseurs. Ils sont surveillés par la Commission Bancaire et Financière, par la Banque Nationale de Belgique et par le gouvernement qui souhaite, légitimement, éviter des fiascos tels que les quasi faillites des banques Fortis et Dexia. Conséquence ? Les mesures prises par les banques sont parfois plus « médiatiques » qu’économiques. Un courtier indépendant jouit d’une marge de manœuvre plus souple. Il accepte ou refuse votre dossier sur base de ses éléments financiers objectifs et non pas sur base d’une politique générale qui ne fait plus de distinction.
Enfin et c’est une évidence, votre banquier habituel ne peut vous proposer que des produits « maison » et ne peut pas profiter de l’énorme diversité des autres produits qui se trouvent sur le marché. Un courtier indépendant travaille avec de nombreux partenaires financiers différents.
Au Crédit Populaire Européen, nous avons plus de 20 partenaires financiers qui porteront un regard différent sur votre demande. Le courtier indépendant est donc bien plus à même de profiter de la concurrence entre partenaires financiers.