Un étudiant peut-il emprunter ?

A partir de quel âge pouvez-vous souscrire un crédit ou un prêt hypothécaire ? Les étudiants peuvent-ils  emprunter sans le secours de leurs parents?

Vous souhaitez acquérir une mobylette, un scooter, une voiture, faire un emprunt pour financer vos activités de loisir, ou bien mieux encore pour payer le loyer de votre kot, votre minerval à l’université, l’achat de vos cours, du matériel scolaire nécessaire…

Pouvez-vous emprunter lorsque vous êtes encore mineur ?
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Nous recevons de plus en plus de demandes de crédit  de personnes qui n’ont pas encore atteint l’âge de la majorité.

Qu’est-il ? Le point sur cette question importante.

Le Crédit étudiant

Crédit étudiant

La loi est sans appel en Belgique et comme dans la plupart des autres pays européens.

Un mineur  – c’est-à-dire pour la Belgique une personne qui n’a pas atteint l’âge de 18 ans – est considéré comme un incapable civil.

La loi ne lui permet pas de s’engager et donc de poser des actes juridiques. Il est réputé incapable juridiquement et aura besoin en toute circonstance de ses parents ou de ses tuteurs légaux pour le représenter.

Un jeune de moins de 18 ans ne peut donc pas seul souscrire un crédit ou un prêt de quelque nature que cela soit.

Le législateur a voulu protéger le mineur contre des actes inconsidérés qu’il pourrait regretter plus tard, des actes qui pourraient ainsi lourdement grever son patrimoine pour de longues années.

Existe-il une solution alternative ?

Bien entendu ! En leur qualité de représentants légaux, les parents du mineur ou à défaut de parents, un tuteur légal (sous le contrôle du Juge de Paix) peuvent emprunter pour le mineur.

Dans ce cas, le contrat de crédit n’est pas signé par le jeune mais directement par ses parents ou son tuteur légal.

Le mineur en tant que tel ne contracte aucune obligation légale.

Le crédit étudiant aux Etats-Unis

De l’autre côté de l’Atlantique, c’est une bien autre histoire qui s’est écrite depuis toujours  car les statistiques nous révèlent qu’en moyenne les jeunes qui sortent des hautes écoles ou des universités sont endettés à concurrence de près de 25.000 $ soit grosso-modo 20.000 €.

Il s’agit de crédits qui leur sont octroyés par des établissements bancaires dans l’unique perspective de mener à terme des hautes études.

Le jeune diplômé rembourse alors ce crédit dès qu’il perçoit ses premiers salaires.

Les tenants de cette facilité considèrent qu’il s’agit là d’un excellent moyen de permettre à des jeunes mineurs dont les parents n’ont pas de ressources financières suffisantes d’accéder également aux études, tandis que d’autres critiquent le fait que ces jeunes  entrent dans la vie professionnelle avec un passif financier qui s’élève déjà à 20.00 €.

A chacun son avis. En ce qui nous concerne, nous nous en référons au dynamisme économique qui existe aux Etats-Unis pour encourager nos législateurs à permettre aux étudiants d’emprunter uniquement dans un but de faire des hautes études (pour payer le minerval, le loyer d’une chambre d’étudiant, l’achat des cours, les cours de langues, l’achat de matériel scolaire, un véhicule pour se rendre aux cours etc…).

Il s’agit là d’une façon intelligente de responsabiliser le jeune très tôt dans son parcours professionnel.

Il est évident qu’une banque peut apprécier la qualité du candidat emprunteur sur base des résultats scolaires obtenus préalablement à sa demande de crédit.

L’égalité sociale passe aussi pour le financement même s’il s’agit là d’une idée qu’une certaine tendance politique ne peut décidément pas saisir, comme bien d’autres concepts d’ailleurs…

Il faut plaider pour qu’un jour peut-être l’Europe puisse avoir des idées larges et des ambitions pour que nos jeunes talents restent européens…

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Comment investir en bourse Vous l’avez sûrement remarqué l’argent qui est déposé sur votre compte-épargne ne vous rapporte quasiment plus aucun intérêt annuel. La moyenne des taux d’intérêts de toutes les banques en Belgique est proche des 1% en ce compris la prime de fidélité annuelle. Maigrelet quand même…

Quant on sait que l’inflation est de l’ordre des près de 2 à 3 % en moyenne chaque année en Belgique, vous aurez compris que l’argent qui repose sur votre compte-épargne vous coûte en réalité plus qu’il ne vous rapporte dans la mesure où il se déprécie plus rapidement qu’il nous vous rapporte des intérêts. Un constat terrible !

Existe-t-il une solution pour que votre argent vous rapporte des intérêts ? Contrairement à ce que vous disent les banques il existe beaucoup de solutions de placements financiers. Suivez le guide à travers cet article (trop) succinct.

L’argent qui dort est un argent qui se déprécie

Ne laissez sur votre compte courant et votre compte-épargne que l’argent dont vous avez absolument besoin. En général, il est recommandé de laisser l’équivalent de six mois de salaire sauf si vous savez que vous allez devoir faire face à une dépense importante dans les prochaines semaines ou mois.

Vous detestez le risque et être prêts à bloquer votre épargne de 3 à 10 ans

Alors vous pourriez être tentés de bloquer vos économies sur un compte à terme. Si vous consentez à bloquer votre épargne pour une période de 10 ans, certaines banques vous accorderons un intérêt de près de 4% brut.

Le principe du compte à terme est que vous ne pouvez pas bouger votre épargne. Il est cependant possible de le faire à certaines conditions mais vous perdrez alors en principe le bénéfice de votre placement.

Investir en actions

Vous pouvez décider d’acheter des actions de sociétés côtées en bourse. N’investissez en bourse que si vos connaissances vous le permettent et si vous êtes certains de pouvoir y consacrer du temps chaque semaine pour suivre l’actualité financière en général et l’actualité financière plus spécifique de vos placements. Il existe de très bonnes revues finacières qui peuvent vous aider à vous familiariser aux marchés financiers. Prenez le temps de lire des revues chaque semaine pendant au moins 6 mois avant d’entamer les premiers investissements.

Nous pouvons vous conseiller la revue L’investisseur de test achat et l‘Initié de la bourse

Ne considérez pas ces conseils comme paroles d’évangiles. Faites vous votre propre opinion et prenez le temps de bien réfléchir à vos placements.

Les placements en actions ces dernières années ont rapporté plus de 10% de plus-value par an. Enfin, il ne faut pas oublier que certaines sociétés distribuent des dividendes qui peuvent parfois atteindre plus de 7% brut comme par exemple, Belgacom, Telenet, Bpost etc..

Ce rendement bien s’ajouter à l’évolution du cours des actions.

Investir en actions représente toujours un risque important et il faut que vous soyez certains d’accepter les flucuations de vos investissements. Il y aura des années de regression voire même de crash et des années positives. En moyenne sur ces 50 dernières années, l’investisseur en action a obtenu un return net positif sur investissement de 5%.

Est-ce assez pour contrebalancer votre stress ? A vous de voir…

Investir en obligations

Une obligation est un emprunt émis par une société qui vous rapporte un intérêt fixe annuel. Les cours des obligations varient moins que ceux des actions mais contrairement aux idées reçues les cours varient aussi et les obligations ne sont pas des produits financiers dénués de tout risque.

Le principe d’une obligation est de vous rapporter un intérêt annuel et de vous rembourser votre capital à l’échéance de l’obligation sauf en cas de faillite de l’entreprise.

Les obligations bénéficient de rating dont dépendra essentiellement les taux d’intérêts. Les rating vont de AAA à D.

A nouveau, selon les risques que l’investisseur est prêt à prendre, les taux d’intérêts sont plus ou moins élevés. Ainsi une obligations AAA rapportera de l’ordre de 1,5 % net alors qu’une obligation BB- peut être assortie d’un intérêt annuel de près de 6 à 7 % brut.

Ces produits financiers peuvent être des instruments de placement très intéressants. Pour plus d’informations sur les produits obligataires, nous vous conseillons le site de la société de bourse Goldwasser Exchange.

Trois principes de base incontournables

Vous souhaitez rentrer sur les marchés financiers ? Très bien mais ne perdez jamais de vue, ces trois  principes fondamentaux essentiels :

  1. N’investissez l’argent que vous n’avez pas besoin dans l’immédiat;
  2. Ayez un horizon de placement de 3 à 5 ans au minimum;
  3. Divertissez vos investissements : la diversification est essentielle pour ne pas centraliser tous les risques dans quelques produits financiers.

Gestion discrétionnaire ou personnelle ?

Toutes les grandes banques mettront à votre disposition un personal banker. Elles vous offriront la gestion discrétionnaire c’est-à-dire qu’un spécialiste des investissements gérera vos investissements dans le respect de vos prérogatives.

Nous croyons personnellement que si vous êtes à même de gérer et de connaître les produits que vous achetez, vous aurez plus de satisfaction à assumer vos risques vous-mêmes. Bien entendu cette dernière solution requiert connaissance, temps et …endurance au stress.

Plus d’informations sur www.cpe-credit.com

 Comment investir en bourse Vous l’avez sûrement remarqué l’argent qui est déposé sur votre compte-épargne ne vous rapporte quasiment plus aucun intérêt annuel. La moyenne des taux d’intérêts de toutes les banques en Belgique est proche des 1% en ce compris la prime de fidélité annuelle. Maigrelet quand même…

Quant on sait que l’inflation est de l’ordre des près de 2 à 3 % en moyenne chaque année en Belgique, vous aurez compris que l’argent qui repose sur votre compte-épargne vous coûte en réalité plus qu’il ne vous rapporte dans la mesure où il se déprécie plus rapidement qu’il nous vous rapporte des intérêts. Un constat terrible !

Existe-t-il une solution pour que votre argent vous rapporte des intérêts ? Contrairement à ce que vous disent les banques il existe beaucoup de solutions de placements financiers. Suivez le guide à travers cet article (trop) succinct.

L’argent qui dort est un argent qui se déprécie

Ne laissez sur votre compte courant et votre compte-épargne que l’argent dont vous avez absolument besoin. En général, il est recommandé de laisser l’équivalent de six mois de salaire sauf si vous savez que vous allez devoir faire face à une dépense importante dans les prochaines semaines ou mois.

Vous detestez le risque et être prêts à bloquer votre épargne de 3 à 10 ans

Alors vous pourriez être tentés de bloquer vos économies sur un compte à terme. Si vous consentez à bloquer votre épargne pour une période de 10 ans, certaines banques vous accorderons un intérêt de près de 4% brut.

Le principe du compte à terme est que vous ne pouvez pas bouger votre épargne. Il est cependant possible de le faire à certaines conditions mais vous perdrez alors en principe le bénéfice de votre placement.

Investir en actions

Vous pouvez décider d’acheter des actions de sociétés côtées en bourse. N’investissez en bourse que si vos connaissances vous le permettent et si vous êtes certains de pouvoir y consacrer du temps chaque semaine pour suivre l’actualité financière en général et l’actualité financière plus spécifique de vos placements. Il existe de très bonnes revues finacières qui peuvent vous aider à vous familiariser aux marchés financiers. Prenez le temps de lire des revues chaque semaine pendant au moins 6 mois avant d’entamer les premiers investissements.

Nous pouvons vous conseiller la revue L’investisseur de test achat et l‘Initié de la bourse

Ne considérez pas ces conseils comme paroles d’évangiles. Faites vous votre propre opinion et prenez le temps de bien réfléchir à vos placements.

Les placements en actions ces dernières années ont rapporté plus de 10% de plus-value par an. Enfin, il ne faut pas oublier que certaines sociétés distribuent des dividendes qui peuvent parfois atteindre plus de 7% brut comme par exemple, Belgacom, Telenet, Bpost etc..

Ce rendement bien s’ajouter à l’évolution du cours des actions.

Investir en actions représente toujours un risque important et il faut que vous soyez certains d’accepter les flucuations de vos investissements. Il y aura des années de regression voire même de crash et des années positives. En moyenne sur ces 50 dernières années, l’investisseur en action a obtenu un return net positif sur investissement de 5%.

Est-ce assez pour contrebalancer votre stress ? A vous de voir…

Investir en obligations

Une obligation est un emprunt émis par une société qui vous rapporte un intérêt fixe annuel. Les cours des obligations varient moins que ceux des actions mais contrairement aux idées reçues les cours varient aussi et les obligations ne sont pas des produits financiers dénués de tout risque.

Le principe d’une obligation est de vous rapporter un intérêt annuel et de vous rembourser votre capital à l’échéance de l’obligation sauf en cas de faillite de l’entreprise.

Les obligations bénéficient de rating dont dépendra essentiellement les taux d’intérêts. Les rating vont de AAA à D.

A nouveau, selon les risques que l’investisseur est prêt à prendre, les taux d’intérêts sont plus ou moins élevés. Ainsi une obligations AAA rapportera de l’ordre de 1,5 % net alors qu’une obligation BB- peut être assortie d’un intérêt annuel de près de 6 à 7 % brut.

Ces produits financiers peuvent être des instruments de placement très intéressants. Pour plus d’informations sur les produits obligataires, nous vous conseillons le site de la société de bourse Goldwasser Exchange.

Trois principes de base incontournables

Vous souhaitez rentrer sur les marchés financiers ? Très bien mais ne perdez jamais de vue, ces trois  principes fondamentaux essentiels :

  1. N’investissez l’argent que vous n’avez pas besoin dans l’immédiat;
  2. Ayez un horizon de placement de 3 à 5 ans au minimum;
  3. Divertissez vos investissements : la diversification est essentielle pour ne pas centraliser tous les risques dans quelques produits financiers.

Gestion discrétionnaire ou personnelle ?

Toutes les grandes banques mettront à votre disposition un personal banker. Elles vous offriront la gestion discrétionnaire c’est-à-dire qu’un spécialiste des investissements gérera vos investissements dans le respect de vos prérogatives.

Nous croyons personnellement que si vous êtes à même de gérer et de connaître les produits que vous achetez, vous aurez plus de satisfaction à assumer vos risques vous-mêmes. Bien entendu cette dernière solution requiert connaissance, temps et …endurance au stress.

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Le crédit séniors

Ce n’est un secret pour personne, l’espérance de vie a considérablement augmenté grâce aux progrès des soins de santé et c’est une tendance qui se poursuit.

C’est tellement vrai que dans divers pays d’Europe, les gouvernements militent pour le recul de l’âge du départ à la retraite.Le vieillissement de la population a certainement un impact considérable dans le monde du crédit et cela se remarque avec l’augmentation des crédits destinés aux séniors. Un rapide aperçu

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Le prêt hypothécaire « Sénior » : jusqu’à 90 ans terme échu !

Chose encore impossible il y a à peine 5 ans : les organismes permettent aux séniors d’emprunter jusqu’à 90 ans terme échu !

La durée du prêt hypothécaire doit être d’un an au mois et porter sur une somme d’au moins 30.000 €. Cet emprunt peut ainsi permettre aux séniors de faire des travaux dans leur maison mais surtout…d’aider des membres de la famille plus jeune en prenant une inscription hypothécaire sur leur maison.

Crédit liquidité

C’est une évidence : il faut attendre les années pour pouvoir se faire plaisir et les banques l’ont parfaitement compris : financer des vacances, un voyage, une sortie d’indivision, des dettes familiales, le décès d’un proche…etc.

Les banques accordent des prêts à tempérament aux séniors de plus en plus âgés. Les conditions seront établies au cas par cas en fonction des montants empruntés, de la durée de l’emprunt sollicité et des garanties offertes.

Peut-on établir un lien entre la contraction du nombre de prêts à tempérament accordés et la santé financière des bourses nationales et européennes ? Un rapide point sur une question brûlante d’actualité.

Un constat inquiétant

La crise financière que nous connaissons en Europe a commencé en 2008 et elle fut directement exportée de la crise des subprimes aux Etats-Unis. Par la suite, la prise de conscience de l’évolution abyssale des dettes souveraines en Europe a considérablement contribué à ternir une activité financière flirtant depuis des mois avec la récession.

Une conséquence n’a pas tardé à apparaître : la santé financière des banques s’est détériorée et l’activité crédit également avec en corollaire, une politique d’accord de prêts et de crédits beaucoup moins généreuse.

Les causes de la crise financière

La crise sévère et durable qui sévit et met à mal la santé financière de l’Europe a essentiellement trois origines :

  1. L’exportation de la crise des subprimes aux Etats-Unis.   
    En bref, les banques US ont accordé des crédits hypothécaires à des ménages endettés et ont spéculé en contrepartie sur l’évolution à la hausse de la valeur vénale de l’immobilier. Hélas, ce schéma d’une naïveté déconcertante s’est écroulé comme un château de cartes dès que le marché de l’immobilier s’est retourné produisant donc l’effet recherché inverse ;
  2. La spéculation financière des banques européennes achetant de la dette souveraine des pays du Sud de l’Europe gravement endettés.
    Les banques ont contribué à plomber les états du sud en leur accordant des prêts importants. Revers de la médaille, certains pays comme la Grèce, l’Irlande, le Portugal ont fait des défauts partiels et l’Europe a dû consentir des rabais de créances avec en corollaire, des faillites de banque ;
  3. La mauvaise gouvernance endémique des Etats tant Européens qu’outre Atlantique et même asiatiques – le Japon en tête.   
    Les Etats dépenses bien plus qu’ils n’engrangent des recettes fiscales. Le modèle de l’Etat providence bien installé en Europe vacille sur ses bases et il faut réduire les avantages sociaux.

Votre argent et la bourse

Entre 2008 et 2011, la santé des bourses mondiales a été catastrophique. Les retours sur investissement ont été largement négatifs. Tant les actions que les obligations d’entreprises ont sévèrement bu la tasse. Une règle d’or pour les petits investisseurs : n’investissez que ce dont vous n’avez pas besoin.

Et maintenait que vais-je faire ?

Il semble que la crise des dettes souveraines en Europe soit maintenant sous contrôle. L’activité bancaire reprend doucement et les actifs boursiers s’orientent lentement mais sûrement à la hausse. C’est le moment d’investir pour les plus téméraires.

Les actions bancaires, si longtemps écartées, retrouvent petit à petit des couleurs. L’activité du crédit sera sans doute encore très précaire en 2013 mais 2014 devrait se présenter comme la nouvelle aurore de l’activité du crédit.

contrat de crédit

En cette période chahutée sur le marché de l’emploi où malheureusement beaucoup de citoyens perdent leur emploi à la suite d’une restructuration d’entreprise, d’une délocalisation de l’activité commerciale, beaucoup de nos clients inquiets nous interrogent sur cette question épineuse des conséquences d’une perte d’emploi sur leur contrat de crédit en cours. Nous faisons le point sur cette question avec vous sur les conséquences d’un Licenciement sur Votre Contrat de Crédit.

Actualité oblige, voici un sujet qui intéresse nos internautes. Malheureusement, la crise des dettes souveraines qui s’est installée partout en Europe a convaincu nombre de gouvernements d’adopter des mesures d’austérité censées contenir les déficits publics dans les limites fixée par l’Europe.

Les conséquences ne se sont pas faites attendre puisque l’Europe est rentrée en récession, essentiellement suite à un ralentissement très important de la consommation des ménages. L’industrie de l’automobile et la sidérurgie affichent, pour ne citer qu’elles,  des bilans calamiteux qui obligent les dirigeants concernés à trouver des parades. Hélas, c’est souvent sur le front de l’emploi que les retombées sont les plus lourdes. L’année 2012 aura vu en Belgique tomber les records de déclarations de faillite et de destruction d’emploi. En France, chaque jour voit passer à la trappe près de …1.500 emplois.

Ce sont malheureusement les classes moyennes qui sont affectées : les ouvriers, les cadres exécutifs et dans une moindre mesure les cadres supérieurs. C’est regrettable car c’est cette catégorie de personnes qui emprunte et qui pourrait être confrontée au risque crédit.

Qu’en est-il d’un licenciement sur votre crédit en cours ? Cette brève analyse  vaut tant pour le prêt à tempérament que pour le crédit hypothécaire.

Conséquences d’un Licenciement sur Votre Contrat de Crédit : Le principe

Le licenciement n’a aucune incidence sur votre contrat de crédit. En bref, vous devez continuer à payer sauf le risque de voir votre crédit dénoncé. Si vous avez emprunté à deux, la totalité du crédit pèse sur le co-emprunteur solvable. Ce dernier ne peut absolument pas prétendre à la réduction de sa charge de moitié.

Les parades

Elles ne sont pas nombreuses. Soit vous avez emprunté avec un co-emprunteur qui pourra assumer la charge du crédit, le temps que vous puissiez retrouver une source nouvelle de revenus soit vous êtes propriétaire d’un immeuble libre de charges. Dans ce cas, il est possible de vous octroyer un nouveau crédit (hypothécaire) qui remboursera celui en cours en prenant nos gages sur votre propriété.

L’assurance perte d’emploi

Cette assurance est promise à un bel avenir malheureusement. Si vous sentez que votre activité professionnelle est menacée, il va même devenir indispensable de souscrire à ce type d’assurance.

Caractéristiques et conditions de l’assurance perte d’emploi.

Il est tout à fait possible –  voire même recommandé – de souscrire ce type d’assurance lors de votre contrat de crédit. Cette assurance peut assortir tant un prêt à tempérament qu’un crédit hypothécaire.

Conditions ?

  • Avoir 21 ans au moins ;
  • Délai d’attente de 6 mois après la souscription du contrat de crédit ;
  • Etre dans les liens d’un contrat à durée indéterminée ;
  • Avoir terminé votre période d’essai d’un mois 3 mois ;
  • Pouvoir prétendre aux allocations de chômage.

Couverture ?

Enfin, la couverture n’est pas illimitée. Certaines assurances vous garantissent donc jusqu’à 12 mois de prise en charge de remboursement de mensualités après votre licenciement. Alors, bien sûr d’après les revenus de remplacement que vous pouvez prémédité, une ventilation se fera quant à la prise en charge de l’assurance. Il faudra bien discuter avec votre assureur et lire attentivement votre contrat d’assurance pour en mesurer la portée exacte.

Vous êtes sans doute extrêmement nombreux à vous demander comment et par qui sont fixés les taux d’intérêts qui affectent vos crédits en Belgique. C’est ce que nous allons examiner de façon très simplifiée dans le cadre de cet article.

D’emblée, nous pouvons dire que le taux d’intérêt est véritablement le nerf de la guerre pour les candidats emprunteurs. En effet, c’est la première chose que regardera le client et c’est normal car c’est du taux d’intérêts que dépendra essentiellement le montant de son remboursement annuel. Pourtant, nous allons voir que ce n’est pas le seul critère auquel, il convient d’être attentif.

1.La différence entre le TAEG et le taux d’intérêt

Le taux annuel effectif global en abrégé T.AE.G est le taux d’intérêt qui affecte un crédit à la consommation ou un prêt à tempérament.

En matière de crédit hypothécaire, nous parlons de taux d’intérêts.

2.Comment sont déterminés le montant du TAEG et le montant des taux d’intérêts ?

Les minima et maxima des T.A.E.G. sont déterminés par la loi. Ils ne sont donc pas laissés à la discrétion de vos banquiers. A noter qu’un intermédiaire de crédit n’étant pas un établissement financier n’a que très peu de pouvoir en cette matière hormis son commissionnement.

Depuis le 1er février 2007, une nouvelle méthode permet de fixer les taux annuels effectifs globaux maximaux.

Fin mars et fin septembre, on examine si les pourcentages maximaux seront adaptés, à la suite d’une modification minimale des indices de référence de 0,75 point. L’indice de référence pour l’ouverture de crédit est la moyenne mensuelle du taux d’intérêt interbancaire Euribor à trois mois. Les nouveaux taux annuels effectifs globaux maximaux entrent en vigueur le premier jour du deuxième mois qui suit le mois de leur publication au Moniteur belge.

En ce qui concerne les taux d’intérêts : plusieurs facteurs clés sont à l’origine du calcul du taux, la gestion des risques et la durée du prêt en particulier. Un établissement de crédit augmente en effet ses taux d’intérêts en fonction des risques qu’il encourt pour un prêt s’étalant dans le temps.

3.Pourquoi les taux d’intérêts sont-ils largement plus bas que les TAEG ?

Pour simplifier, la différence de taux entre les deux types de crédits s’explique d’abord par la notion de garantie demandée à l’emprunteur pour les prêts immobiliers : hypothèque, cautionnement ou privilège du prêteur de deniers qui viennent minorer très largement le coût des impayés. En matière de crédit hypothécaire, la banque prend une inscription hypothécaire sur votre maison et elle possède donc une garantie de choix. En conséquence, elle peut se permettre d’octroyer des taux d’intérêts plus faibles.

4.Quels sont les principaux taux d’intérêts ?

Les taux d’intérêts varient à la fois en fonction du type de crédit mais aussi en fonction de la longueur de l’étalement des remboursements dans le temps et des garanties offertes par les emprunteurs.

Il est bien évident que plus la durée de l’emprunt est étalée dans le temps et plus le taux d’intérêt sera faible.

De même, plus les garanties offertes sont importantes et plus le taux d’intérêts sera faible.

Citons quelques catégories de TAEG différents :

·Financement voiture neuve (environ 4%)

·Financement voiture d’occasion (environ 7%)

·Financement travaux (environ 5%)

·Prêt à la consommation (environ 9%)

·Crédit hypothécaire (environ 4%)

· …

Notre simulateur de crédit présent sur notre site internet est en cette matière un instrument précieux et qui vous assure une transparence totale.

5.Le taux d’intérêts est-il l’unique élément auquel je dois être attentif ?

Non, le candidat emprunteur devrait également distinguer les taux variables et les taux fixes. Bien souvent, les crédits assortis de taux variables font d’abord la part belle au remboursement des intérêts alors que les crédits assortis de taux fixes privilégient le remboursement du capital. Ces derniers sont bien entendu toujours légèrement supérieurs mais sont plus soucieux de l’intérêt du consommateur qui rembourse plus rapidement son capital.

6.Comment expliquer la différence de taux d’intérêts entre les courtiers en crédit ?

Le montant des taux d’intérêts étant déterminés par la loi, c’est essentiellement sur le commissionnement du courtier que se fera la différence.

Le Salon Batibouw 2024 est une grande exposition pour l’industrie de la décoration intérieure et du bâtiment en Belgique, qui a lieu une fois par an.

Les participants sont des professionnel qui s’intéressent aux dernières tendances en matière de design et de construction.

C’est donc entre 20 au 25 février 2024 que s’ouvrira le prochain salon  Batibouw au sein des palais de Brussels Expo.

Votre salon de la construction, de la rénovation et de l’embellissement de votre maison : découvrez dès à présent nos conditions spéciales crédit.

Vous avez des projets immobiliers en tête ?  Construction, travaux, rénovation, embellissement : c’est la période idéale ! Avec le salon Batibouw, profitez des conditions crédits avantageuses. Il y aura environ 1.000 stands ouverts sur le site ! 

BATIBOUW, le plus grand salon belge de la Construction, de la Rénovation et de l’Aménagement pour professionnels et particuliers se déroule du 20 au 25 février 2024.

BATIBOUW est le plus grand salon belge de la Construction

mais également de la Rénovation et de l’Aménagement intérieur pour professionnels et particuliers.

Le salon Batibouw est le rendez-vous des spécialistes de la maison et de l’immobilier et de la construction. Vous trouverez virtuellement vos exposants, des conseils et des professionnels qui vous aideront pour réaliser la construction, la rénovation ou l’embellissement de votre maison.

Astuces pratiques

Tickets

Tickets en ligne

  • Adultes : 15 €
  • Enfants (jusqu’à 16 ans) : gratuit
  • Groupes : 13 € (min. 15 tickets)
  • Afterwork : Gratuit en semaine à partir de 16h (nocturne comprise).

Visitez BATIBOUW en train !

Pour chaque achat ou enregistrement de ticket en ligne, vous reçevez un code SNCB directement sur votre ticket vous permettant d’acheter un Discovery Ticket. Vous bénéficiez alors de 50% de réduction sur votre voyage aller-retour vers Bruxelles-Midi !
Plus d’infos sur le Discovery Ticket ici

Tickets sur place

Nous vous conseillons d’acheter vos tickets en ligne à l’avance pour éviter les files à l’entrée du salon.
Attention, il n’est pas possible de payer sur place avec de l’argent liquide (uniquement cartes).

  • Adultes : 15 €
  • Enfants (jusqu’à 16 ans) : gratuit
  • Afterwork : Gratuit en semaine à partir de 16h (nocturne comprise).

Informations pratiques au sujet de batibouw

BATIBOUW est accessible du mardi 20 au dimanche 25 février 2024.

Heures d’ouverture :

  • 10h00 à 19h00 tous les jours
  • Nocturnes le 23/02 jusqu’à 22h00

BATIBOUW 2024 un accent sur l’écologie !

L’émission s’est toujours efforcée d’être visionnaire depuis sa création. Par exemple, ils se sont souciés des questions environnementales lors de la crise pétrolière de 1970 en créant un espace d’isolation. Ils s’intéressent également aux panneaux solaires en 2000 en leur créant un espace. En 2023, ils prévoient de présenter les objectifs poussés par la Commission européenne liés à la neutralité carbone d’ici 2050.

Le PDG de l’entreprise qui héberge Batibouw, Frédéric François, affirme que le salon a un rôle à jouer dans l’évolution du secteur de la construction. En effet, cela permettra au secteur de la construction de réduire sa production de déchets, sa consommation d’énergie et ses émissions de gaz à effet de serre, dit-il.

Afin d’offrir un salon durable l’année prochaine, Batibouw n’installera pas 30 000 mètres carrés de moquette dans les allées. Au lieu de cela, ils réutiliseront la signalisation, trieront les déchets avec plus de soin et généreront moins de plastique. De plus, les organisateurs sélectionneront les exposants en fonction de la durabilité de leurs produits et services.

En raccourcissant la durée du salon, les exposants consommeront moins d’électricité, de chaleur et de déplacements. Les organisateurs de Batibouw affirment que cela aura un impact positif sur les participants avec des contacts plus qualitatifs. Ils affirment que cette longueur raccourcie est conforme à de nombreux autres spectacles de taille similaire.

Zone d’Inspiration du salon Batibouw 2024

Pour continuer sur la lancée du salon 2020, il y aura un nouvel espace inspiration. Un espace où sont exposés les produits des exposants, permettant aux futurs constructeurs et rénovateurs de trouver l’inspiration pour votre maison.

Batibouw et votre prêt personnel

Vous pouvez financer votre dépense par un crédit personnel, un prêt à tempérament ou un crédit à la consommation. Utilisez notre simulateur en précisant la nature de votre projet.

Votre crédit hypothécaire

Pendant la durée du salon, nous avons des conditions particulières en matière de crédit hypothécaire, crédit rénovation, crédit travaux. Informez-vous dès maintenant !

crédits accordés aux PMEEn ces temps de crise où le crédit se fait rare, la ministre des classes moyennes, Sabine Laruelle, et Koen Geens, le ministre des Finances, plaident en faveur des PME. Ils ont mis la barre très haut avec un nouveau projet de loi qui contraint les banques à faire un réel effort pour faciliter l’accès au crédit des PME.

Déjà approuvé par le gouvernement, ce lot de propositions doit être effectif dès l’automne prochain sans effet rétroactif sur les contrats de crédit déjà en cours.

Quels sont les nouvelles mesures ?

Dans un contexte où plus de la moitié des PME ont déjà baissé les bras face à la réticence des banques à être plus indulgent dans l’octroi d’un financement, la donne semble être en train de changer.

Les banques vont, en effet, être bientôt obligées de mieux s’expliquer sur les raisons des refus. Elles devront également déployer tous les moyens possibles pour trouver une solution à chaque demande de crédit avant de fermer leur porte.

Selon le chef du gouvernement, ces mesures ont tout leur sens puisque les PME constituent un véritable poumon économique et un secteur porteur en termes d’emploi. Plus que de réelles contraintes, ces dispositifs visent à inviter les banques à rendre plus transparentes les informations fournies à leurs clients et à être plus attentif à chaque demande qui leur sont soumises avant de trancher. Si l’octroi du crédit se voit refusé, il faudra que l’institution financière justifie ses motifs par le biais d’un exposé clair et compréhensible.

Grâce à une étude plus profonde de l’analyse des risques, les PME et les indépendants vont pouvoir mieux ficeler leur dossier avant d’instruire une demande de crédit. En cas d’échec, elles auront l’opportunité de mieux comprendre l’origine du problème et essayer d’améliorer leur profil avant de réintroduire une demande de crédit.

L’avis de l’UCM

L’Union des Classes Moyennes (UCM) ne cache pas son enthousiasme face à cette l’évolution de cette situation qui va sans aucun doute éclaircir progressivement la morosité économique latente qui s’est déjà installée dans le secteur du crédit pour PME. L’UCM précise également que les prétentions des sociétés et des indépendants ne sont pas exagérées puisque le montant emprunté se situe en général sous les 100 000 euros pour les indépendants et avoisine les  200 000 euros pour les PME.

Autre point important

Les indemnités de remploi vont devoir être estimées de manière à effacer toute zone d’ombre. Pour un crédit inférieur à 1 million d’euros, ces indemnités relatives à un remboursement anticipé seront limitées à 6 mois d’intérêts maximum. Au-delà de ce montant, il faudra que les banques et les PME se concertent afin de proposer un mode de calcul rationnel en l’espace de trois mois, sans quoi le gouvernement prendra ses responsabilités.

Ce projet de loi promet de donner un nouveau souffle à l’octroi de crédit pour PME mais il ne faut pas perdre de vue que les banques ne changeront pas fondamentalement leur politique prudentielle et qu’un dossier bien construit sera toujours le meilleur gage d’acceptation

crédits hypothécaires

Le marché du crédit hypothécaire est un indice révélateur de la santé de l’économie en Belgique. En effet, les belges considèrent toujours que l’investissement immobilier est prépondérant dans l’affectation des dépenses de leur budget. Aussi, une augmentation ou au contraire une contraction soit du nombre des contrats soit des montants empruntés a une valeur réelle en terme d’analyse micro-économique sur les marchés belges.

Le marché du crédit hypothécaire est stable

Le nombre de contrats de crédit hypothécaire conclus sur la période juillet-septembre est un peu moins élevé qu’au trimestre précédent mais le montant global des fonds empruntés s’est maintenu aux alentours des 5 milliards d’euro.

Les dernières statistiques publiées par l’Union professionnelle du crédit (UPC) montrent que 46.000 contrats de crédit hypothécaire ont été signés soit 2.000 de mois que le trimestre précédent. La baisse du nombre des contrats est quasi essentiellement due à la diminution observée au niveau des crédits de rénovation (-1.700).

Sur un an, nous notons quand même une contraction de 9% du nombre de contrats et de 8% en terme de montants empruntés.

Le montant moyen emprunté est stable. Pour l’achat d’un logement la moyenne s’établit à 135.000 € soit un statu quo par rapport au trimestre précédent.

A noter encore que 78% des emprunteurs ont opté pour un taux fixe au troisième trimestre.

On peut donc en conclure que d’une manière générale, l’économie ne régresse plus mais ne croît pas non plus.

Nous traversons en Europe une crise financière importante depuis 2008 : en effet, le taux de chômage n’a jamais été aussi élevé, il atteint le chiffre record de 12 % de la population totale de l’Europe et le nombre de faillite bat également des records chaque année.

Les gouvernements de l’Espace Economique Européen tentent de relancer la croissance après plusieurs trimestres de récession, la croissance réapparait mais de manière très faible. Cet environnement économique morose se ressent bien évidemment dans le monde du crédit. Le point sur ce sujet brûlant d’actualité.

Les Belges empruntent toujours plus avec le crédit en Belgique

Les belges empruntent de plus en plus à des fins secondaires

Il y a dix ou 20 ans, le Belge empruntait essentiellement pour s’acheter une maison, pour construire ou rénover sa maison ou pour contracter  un financement auto. Actuellement, il est devenu tout à fait habituel de contracter un emprunt pour partir en voyage, acheter des livres scolaires ou financer une chirurgie esthétique. En 2010, à peine 6% des prêts à tempérament étaient utilisés pour de tels projets personnels contre près de 15 % désormais, soit une augmentation vertigineuse de 9 %  en à peine 3 ans…

Les Belges empruntent de plus gros montants

Fin juin 2012, les Belges accumulaient encore environ 2 millions de prêts à tempérament soit 12 % de plus qu’il y a 10 ans d’après les chiffres de l’Union professionnelle du Crédit (UPC). Le montant cumulé de tous ces prêts équivalaient à un total de 16,63 milliards d’euros soit une hausse de près de 57 % sur une période de 10 ans…

Les montants empruntés sont également beaucoup plus important. un sondage réalisé sur 1200 personnes représentant un pannel significatif a montré que 46 % remboursaient au moment de l’enquête un crédit contre 38 % trois ans plus tôt.

Le montant des défauts n’a jamais été aussi élevé

En corrollaire à l’explosion du nombre des crédits, le montant des défauts de paiement des Belges a atteint en août 2013 2,888 milliards d’euros et n’a jamais été aussi élevé en Belgique selon les derniers chiffres de la Centrale de crédits aux particuliers.

Le Crédit hypothécaire au ralenti

Si la confiance du consommateur est à la hausse, la situation économique reste difficile. Ainsi, les demandes de crédit hypothécaire sont parties à la baisse au mois d’août. Selon les chiffres du mois d’août du baromètre du crédit hypothécaire de l’UPC, le nombre des demandes de crédit hypothécaire a sur base annuelle diminués de 6,8%, le montant des demandes, a lui, reculé de 6,4%.

Les crédits octroyés se sont aussi tassés en terme de demande (-13%) que de montant (-10%).

On voit donc une évolution en sens contraire du Crédit hypothécaire par rapport au prêt à tempérament.