Vous avez contracté un ou plusieurs crédits et pour des raisons diverses, vous éprouvez des difficultés à faire face au remboursement de votre ou de vos primes mensuelles.

Vous vous trouvez en quelque sorte en situation de surendettement et vous souhaiteriez vous tourner vers un organisme de médiation actif en matière de crédit et de surendettement.

Faisons le point ensemble sur cette question.

Prévenir vaux mieux que guérir

C’est d’abord le rôle essentiel de votre courtier de crédit que de construire avec vous un dossier de crédit raisonnable. C’est une politique prudentielle qui consiste à faire de votre courtier le premier de vos conseillers. Chacun a des limites et en matière de crédit, cette vérité se vérifie aussi.

A cet égard, il vous appartient d’être honnête avec votre courtier et de ne pas lui dissimuler des informations qui donneraient une autre image de votre situation financière. Tromper volontairement votre courtier est par ailleurs susceptible de poursuite pénale car ce comportement met généralement en lumière des faux, usages de faux et fausses déclarations lesquelles peuvent être poursuivies devant les tribunaux.

Défaut de remboursement mensuel : fin de l’accès au crédit

Si vous n’êtes plus en mesure de rembourser vos échéances financières pendant deux mensualités, la première sanction sera de type administratif. Votre organisme prêteur a l’obligation légale de dénoncer votre crédit à la banque nationale de Belgique. Cela signifie que votre dossier tombe en contentieux et que vous devez rembourser l’intégralité de votre crédit immédiatement  à l’assureur-crédit. Par ailleurs, vous serez fiché à la Banque nationale de Belgique, ce qui vous fermera les portes au crédit pendant une durée de 15 mois.

Situation particulière pour les entreprises, les indépendants et les professions libérales

Il existe un organisme de médiation pour les entreprises, les indépendants et les titulaires de professions libérales. Le Centre de Connaissances  du Financement des PME (CEFIP) peut aider une entreprise, un indépendant ou un titulaire de professions libérales à avoir accès au crédit pour pallier à une situation de manque de trésorerie temporaire. Dans ce cas, la problématique est différente. Il ne s’agit pas de faire face à un défaut de remboursement de primes mensuelles mais plutôt de trouver un terrain d’entente entre une banque et un entrepreneur afin que ce dernier puisse avoir accès au crédit.

Actuellement, compte-tenu de la crise du crédit, les banques sont parfois plus frileuses dans l’octroi du crédit. Dans ce cas, le CEFIP peut vous aider à essayer de débloquer une situation temporaire.

Le règlement collectif de dettes

Le CEFIP n’intervient pas pour les particuliers. Dès lors, que vous n’avez pas contracté un emprunt dans le cadre de l’exercice de votre profession mais dans le cadre de votre vie privée, la situation est différente.

Le Législateur a prévu en Belgique une loi protectrice des particuliers qui se trouveraient dans une situation de surrendettement telle qu’ils ne pourraient plus faire face aux remboursements de leurs primes mensuelles et ne pourraient plus mener une vie conforme à la dignité humaine. Il s’agit de la loi du 5 juillet 1998 relative au règlement collectif de dettes.

Si votre requête est acceptée par le tribunal du travail, il vous sera désigné un médiateur de dettes qui établira un plan de règlement collectif de dettes.

Le plan de règlement collectif de dettes a pour objet de rétablir la situation financière d’une personne surendettée. Il doit lui permettre, dans la mesure du possible, de payer ses dettes, en lui garantissant, ainsi qu’à sa famille, une vie conforme à la dignité humaine.

Le plan de règlement collectif de dettes peut être amiable ou judiciaire.

  • Plan amiable: il est négocié par le médiateur de dettes avec l’ensemble de vos créanciers ; en cas d’accord de toutes les parties, il est homologué par le juge.
  • Plan judiciaire: à défaut d’accord des créanciers sur un tel plan, le juge peut imposer un plan de règlement judiciaire d’une durée maximale de cinq ans.

Un plan judiciaire peut comporter les mesures suivantes

  • Le rééchelonnement du paiement des dettes
  • La réduction des taux d’intérêt
  • La suspension de l’effet des saisies, de même que des cessions de créance
  • La remise des indemnités et des frais
  • Toute autre mesure d’accompagnement, telle qu’une guidance budgétaire, l’obligation de suivre une cure de désintoxication, etc.

Si vous éprouvez des difficultés financières graves et que vous ne pouvez plus faire face à vos dettes, il est conseillé de vous adresser à un centre agréé pour pratiquer la médiation de dettes (CPAS ou association sans but lucratif).

prêt mariageL’épanouissement et la réussite d’un couple se mesurent souvent à la capacité des partenaires à pouvoir concevoir, entreprendre et réussir des projets communs. En cela, rien d’étonnant puisque cette propension ne fait que traduire en action, la volonté de deux êtres à regarder dans la même direction.

Acheter un bien immobilierconcevoir des enfantsentreprendre une activité professionnelle sont autant de projets qui sont en mesure de consolider et de fortifier les liens existants entre deux personnes. Même s’il est loin d’être indispensable et même, souvent révolu dans certains milieux sociaux, l’organisation d’un mariage fait encore partie de ses événements symboliques que certains couples aiment réaliser ensemble.

L’organisation d’un mariage présente cette caractéristique différente des autres projets évoqués ci-avant, en ce qu’il est un acte avant tout de partage. En effet, lorsque deux personnes s’unissent, civilement ou religieusement, elles souhaitent avant toute chose donner une certaine forme de publicité et d’engagement à leur union. En d’autres mots, il s’agit d’officialiser publiquement le bonheur pouvant exister entre deux êtres. Dans ce cas, la présence des familles et des amis permet aux amoureux de partager avec leurs proches ce bonheur qui les réunit.

Voilà pourquoi, le mariage reste toujours extrêmement populaire et symbolique pour des millions de personnes.

Organiser un mariage n’est pas une mince affaire. Au contraire, cet heureux événement requiert vision, organisation, méthode, préparation et financement. Pour faire de ce jour une pleine réussite, il vous faudra donc construire sérieusement un projet et l’exécuter avec minutie.

Les incontournables

Il est généralement admis que l’organisation sereine d’un mariage requiert une année. Voici quelques clefs de base qui vous permettront d’entamer une réflexion sur l’organisation de votre mariage

Prennez  le temps de la réflexion…

Ne vous lancez pas têtes baisées dans l’organisation d’un mariage. Partez un week-end ensemble dans un endroit tranquille et prenez le temps de vous poser les bonnes questions telles que par exemple :

  • Souhaitez-vous vous marier religieusement ou uniquement civilement ?
  • Les cérémonies civiles et religieuses se déroulent la même journée ou à des jours différents ?
  • Plutôt un mariage discret et intime ou préférez-vous convier une grande partie de vos amis et de votre famille ?
  • Cérémonie classique (réception, traiteur, soirée dansante) ou plus minimaliste (walking diner entre amis dans un jardin) ?
  • Envisagez-vous de partir en voyage de noces le lendemain de votre mariage ou bien plus tard ?
  • Dans quoi allez-vous investir votre argent ? Le repas, la cérémonie religieuse, le mariage civil, la soirée dansante, votre voyage de noces…?
  • Etc.

Prévoyez de prendre les renseignements à la commune dans un premier temps !

C’est en fonction des disponibilités de votre commune et des démarches administratives que vous allez avoir une idée plus précise du temps qu’il vous faudra pour organiser votre mariage. Commencez donc, par aller poser des questions au service mariage de votre commune.

Renseignez-vous après du prêtre ou du curé qui officie dans la paroisse de votre choix

Trouver la paroisse qui vous convient est loin d’être aussi simple que l’on pourrait l’imaginer. Bien des couples envisagent de se marier dans les paroisses très courues et bien souvent, l’attente peut s’avérer longue. Il n’est pas rare que certains prêtres vous refusent leur paroisse car vous n’êtes pas domiciliés dans le ressort de sa paroisse ou dans la commune. De même, les disponibilités ne sont pas toujours évidentes. Pensez-y au moins un an à l’avance et n’oubliez pas, il faudra faire coïncider la date de disponibilité de votre paroisse, avec la disponibilité du traiteur, de la salle de cérémonie et parfois même avec les vacances de votre commune. Autant être clair : s’y prendre à l’avance est indispensable.

Réserver votre traiteur et votre salle de réception

Ici aussi, il vous faudra envisager de réserver près d’un an à l’avance surtout si vous espérez vous marier aux périodes de l’année les plus propices à cet heureux événement. En général, la plupart des mariages sont réservés entre avril et septembre. Vous ne serez donc pas seuls à désirer telle date, tel lieux, telle église…

Faire confectionner sa robe de mariée

Est non seulement un plaisir mais peut aussi s’avérer un long travail, surtout si vous souhaitez que votre robe soit taillée sur mesure ou si vous ambitionnez de la dessiner vous-même : compter une période de conception de 6 mois n’est pas chose rare

crédit mariagePrenez des conseils

N’hésitez pas à écouter les conseils de vos amis : ils représentent de bonnes garanties. Certains vous recommanderont un bon traiteur, une bonne salle, le prêtre qui vous convient. Il existe aussi des tas de sites internet spécialisés dans l’organisation de mariage, consultez-les. 

Certains couples s’offrent les services d’un « wedding planner » ou encore d’un maître de cérémonie. Ce sont des petits luxes qui peuvent s’avérer indispensables pour ceux qui auraient des difficultés à concevoir et à exécuter un projet d’une telle envergure seuls. Vous trouverez également sur notre site internet, les prémisses de l’organisation de votre mariage. Prenez le temps de lire ces conseils.

Le temps investit dans la lecture de ces recommandations préalables sera vite récupéré en évitant de commettre des erreurs.

Financement et budget de votre mariage

Que coûte un mariage ? Quel budget faut-il envisager?

Tout cela dépendra de vos souhaits et de vos ambitions.

La location d’une salle de réception avoisine les 2.000€.

Le coût d’un banquet de mariage environne les 60€ par convives.

Admettons que le budget d’un mariage varie dans une fourchette allant de 10.000 à 40.000€ pour les plus coûteux (sans tenir compte du voyage de noces bien entendu).

N’oubliez pas de tout prévoir et de tout compter.

De plus, il vous est possible d’obtenir des réductions si :

  • Vous organisez votre mariage pendant les périodes moins sollicitées (entre septembre et mars). À ce titre, une location de salle en janvier sera bien moins coûteuse qu’en juillet.
  • Certaines salles vous proposent un paquet complet de services : salle de réception, traiteur, soirée dansante. Cette formule groupée reviendra sans doute moins cher que si vous optez pour un traiteur ou DJ de votre choix.
  • Fournir votre repas de mariage ainsi que vos propres vins peut également s’avérer une formule gagnante.

Notre société de crédit offre des conditions spéciales pour financer votre mariage. Pour le crédit mariage nous vous offrons automatiquement nos taux TAEG plus faibles du marché. C’est notre façon à nous de vous faire un beau cadeau de mariage.

Vous l’aurez compris, une foule considérable de paramètres sont à envisager. Voilà pourquoi, une année n’est pas un luxe inutile pour mener à bien ce qui sera sans aucun doute, un jour inoubliable pour vous, votre famille, vos amis et tous vos proches.

achat immobilier

Avant de parvenir au paiement total du prix du bien immobilier, l’acheteur et le vendeur doivent recourir aux services d’un notaire.

En plus du rôle de conseil et d’informateur, le notaire est le garant d’une bonne transaction immobilière pour les deux parties grâce aux actes notariaux.

Actes et procédure établie par le notaire

Selon la législation belge, plusieurs actes doivent être établis par un notaire pour tout projet d’acquisition immobilière. Le notaire du vendeur entre en contact avec celui de l’acquéreur afin de procéder à la signature du compromis de vente. Il s’agit en quelque sorte d’un contrat de vente provisoire. Celui-ci peut inclure des clauses suspensives à la demande de l’acheteur. Cette signature est en général accompagnée du versement d’un acompte correspondant à 10 % du prix de vente par l’acheteur.

La loi exige qu’un maximum de 4 mois sépare la date de signature du compromis de vente et celle de l’acte définitif. Le rôle du notaire pendant ce temps est d’effectuer les recherches administratives pour que l’acte soit inattaquable, aussi bien sur la forme que sur le contenu. Ce laps de temps permet également à l’acheteur de finaliser son dossier s’il contracte un crédit auprès d’un organisme financier.

Les attributions du notaire consistent ensuite à rédiger l’acte de vente notarié et à collecter les droits d’enregistrement correspondant à la transaction. Ceux-ci sont calculés à partir du prix de vente du bien et leur taux varie selon la région où il est situé. L’homme de loi recueille également les droits d’enregistrement de l’acte hypothécaire si l’acheteur finance l’opération par un crédit. Ces taxes sont par la suite versées par le notaire à l’administration fiscale.

Comment calculer les frais du notaire ?

Il convient de noter qu’outre les droits d’enregistrement, l’acheteur doit prendre en charge les frais de notaire ainsi que des frais divers. Le calcul des frais de notaire repose sur la valeur du bien immobilier pour l’acte d’achat et sur le montant du crédit pour l’acte d’hypothèque.

Sur notre site, il existe un simulateur de calcul des frais de notaire sur cette page où il suffit juste de renseigner le prix d’achat et le taux de base applicable. En quelques clics, vous serez informé sur les droits d’enregistrement à payer, les frais divers et les honoraires notariaux.

Prêt motoGénéralement, c’est le côté esthétique ou mécanique de la machine qui attire le débutant qui souhaite acquérir une moto. Cependant, de nombreux critères sont à prendre à compte afin de marier plaisir de la route et économies.

De l’usage envisagé et des équipements souhaités au budget disponible en passant par le choix du mode de financement et de l’assurance, rien ne doit être laissé au hasard.

Acheter une moto : neuve ou d’occasion ?

À première vue, acheter une moto neuve est plus intéressant pour un débutant. En effet, l’aspect rutilant de la machine, le doux ronronnement de la mécanique et les garanties offertes par le vendeur sont autant de raisons pour se tourner vers une bécane neuve. Il faudra, cependant, s’attendre à un prix d’achat plus élevé par rapport à une moto d’occasion. Malheureusement, si dans le futur, le motard envisage de revendre sa moto, il va perdre beaucoup plus d’argent que s’il avait opté pour un véhicule d’occasion.

Le débutant a donc intérêt à acheter une moto d’occasion pour acquérir une première expérience de conduite et améliorer ses réflexes si son budget ne lui permet pas d’acquérir un engin neuf. Il est également important de signaler que l’assurance d’une moto d’occasion est moins élevée que celle d’une moto neuve.

Le type de moto approprié au débutant

Le type de moto qui convient à un débutant dépend surtout de l’utilisation qu’il compte en faire. Pour les déplacements en ville et les courts trajets au quotidien, le maxi scooter allie confort et capacité à se faufiler dans les embouteillages. Le roadster est également une monture adaptée à la conduite des débutants. Assez maniable, il se révèle très fiable et procure un sentiment de sécurité au motard.

La sportive constitue une autre machine abordable pour le débutant. Son atout réside dans sa légèreté et dans ses freins puissants. Si le motard souhaite s’aventurer sur les sentiers ou les pistes, le trail représente la moto idéale avec sa grande hauteur. Il faut compter un peu plus d’expériences pour affronter les ornières, le sable et les obstacles avec une moto d’enduro ou de trail. Si la première est homologuée et peut circuler dans les rues, la seconde est interdite dans les villes.

La cylindrée idéale pour un motard débutant

Pour commencer l’apprentissage de la moto et acquérir les réflexes indispensables à la conduite d’un deux-roues, il est préférable d’opter pour une monture de faible cylindrée. En effet, le débutant ne maîtrise pas totalement les techniques de conduite et n’est pas entièrement familiarisé avec sa machine. Le mieux est donc d’opter pour une moto de 500 à 600 cm³. Sa puissance relative améliore les sensations au guidon et elle est plus facile à maîtriser.

Qu’en est-il des avantages fiscaux ?

Rouler en moto pour se rendre à son travail offre des avantages fiscaux considérables au motard. Celui-ci peut déduire de sa fiche d’impôts les frais réels engendrés par son nouveau véhicule. Il s’agit notamment du carburant, des frais d’entretien et de réparation, des vêtements de protection, de la prime d’assurance et de la taxe à la circulation. Il suffit de conserver les justificatifs de ces charges. Dans le cas où la moto n’est utilisée pour se rendre au travail qu’une partie de l’année, vous pouvez demander un forfait de 0,15 euro par kilomètre, dans la limite de 200 km aller-retour par jour.

Il est également conseillé d’inclure l’amortissement de l’achat de la moto dans vos charges professionnelles. Une moto neuve s’amortit normalement en 5 ans. Il est, toutefois, possible de procéder à un amortissement dégressif de la machine après avoir obtenu l’accord du fisc.

Comment financer votre première moto ?

L’acquisition d’une moto neuve ou d’occasion peut être financée par le biais d’un crédit. Le motard a le choix entre un prêt affecté ou un prêt non affecté. Le prêt à tempérament constitue la solution idéale pour une machine dont le prix dépasse les 2 500 euros. Le remboursement peut s’étaler entre 24 et 84 mois. Certaines banques proposent d’octroyer un crédit équivalent à 110 % du prix de la moto d’occasion pour permettre de régler les frais liés à cet achat, comme la taxe de circulation ou la première prime d’assurance.

étudiant minerval

La rentrée scolaire des enfants en primaire et dans le secondaire est déjà derrière vous ? Voilà une bonne chose de faite !  La rentrée scolaire c’est déjà un budget en soi, surtout quand on a plusieurs enfants. Aujourd’hui, les écoles primaires et secondaires sont de plus en plus exigeantes (voyage scolaire, livres, tablettes etc…).

Il n’est pas facile d’assumer ces dépenses pour certaines familles. Bien entendu, l’éducation et la formation de vos enfants sont des priorités.

Mais que dire alors lorsqu’en plus, la famille doit assurer les frais d’une rentrée universitaire d’un ou de plusieurs enfants. Là aussi, les coûts sont très importants, plus importants encore : de l’achat d’une petite voiture, à la location d’un kot, au paiement du minerval universitaire et ce, sans compter les autres fournitures scolaires. L’enseignement supérieur représente un budget très conséquent pour les familles.

Il peut dans certains cas être nécessaire de demander une aide financière pour financer les études de vos enfants : notre société de crédit accorde des crédits à partir de 2.500 €.

Le point sur la question.

Le coût d’une rentrée universitaire

Ce coût peut s’avérer très élevé.

En effet, il est parfois utile d’acheter une petite voiture. De même la location d’un studio ou d’un kot représente un poste conséquent du budget et notamment dans des villes comme Bruxelles, Liège, Louvain-la-Neuve ou encore Namur. Un kot, c’est facilement 350 € par mois auxquels viennent s’ajouter la caution locative de deux mois.

Ensuite, viennent le minerval et les syllabi.

Le minerval universitaire

Pour l’inscription à des études à l’Université, un minerval est réclamé. Son montant est fixé par l’article 39 de la loi du 27 juillet 1971 sur le financement des institutions universitaires. À titre indicatif, pour l’année académique 2012-2013, le montant s’élève à 835 euros.

Ce minerval peut toutefois être gratuit si vous recevez une allocation octroyée par le service de prêts et allocations d’études de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Par ailleurs, un minerval intermédiaire est prévu  pour les étudiants de condition modeste qui n’entrent pas dans les conditions et les modalités d’une allocation et d’une bourse de la Fédération Wallonie-Bruxelles. À titre indicatif, de nouveau, pour l’année 2011-2012, le montant réduit s’élève à 374 €.

À noter aussi, que les minervals peuvent être réduits, en ce qui concerne les Hautes Ecoles ou pour une école supérieure d’arts. Dans ce cas, le minerval ordinaire s’élève à 454 € et le minerval réduit à 227 € pour l’année terminale et à 175 € pour les autres années.

Pour plus d’information sur le montant des revenus permettant l’octroi d’une allocation d’études ou d’un minerval réduit : visitez le site de la Fédération Wallonie-Bruxelles.

Crédit rentrée scolaire

Notre société accorde des crédits pour des montants modestes. Vous pouvez déjà souscrire un crédit  pour un montant de 2.500 € remboursable en 24 mensualités.

N’hésitez pas à contacter nos courtiers pour de plus amples informations.

mensualités idéal pour un crédit auto

Les offres du marché du crédit visent à répondre de manière toujours plus satisfaisante aux besoins des consommateurs. Mais également à leurs capacités de remboursement. Il en découle toute une multitude de possibilités en terme de mensualités idéal pour un crédit auto.

Concernant le crédit auto, le montant et le nombre de mensualités à payer par l’emprunteur dépendent étroitement du type de crédit, de sa durée, du taux d’intérêt et de la hauteur de l’apport personnel.

Une mensualité adaptée à chaque objectif

Même si la durée d’un crédit auto varie entre un an à 7 ans. Le nombre de mensualités idéal se situe entre 24 mois et 60 mois à quelques exceptions près.

Un travailleur indépendant cherche la plupart du temps à acheter une voiture qu’il pourra utiliser. Aussi bien pour ses activités professionnelles que pour un usage personnel. Les banques tiennent compte de cette utilisation. Et de la situation de l’indépendant dans leur offre de crédit. Afin de l’adapter au mieux aux possibilités de remboursement de l’emprunteur.

La particularité des indépendants est de disposer de revenus assez variables, il faudra donc miser sur un nombre moyen de mensualités et tenir compte de ce changement dans le calcul du montant des revenus. Il ne faut pas oublier qu’étant indépendant, vous pouvez bénéficier de déductions fiscales pour l’achat et l’utilisation d’une voiture pour vos déplacements professionnels.

De l’autre côté, un particulier qui souhaite acheter une voiture par le biais d’un crédit bancaire peut miser sur des revenus stables et estimés à l’avance. Le nombre de mensualités adapté dépendra de la capacité réelle de remboursement.  Vous pouvez utiliser notre simulateur de crédit en ligne qui aidera à faire le bon choix. La durée du crédit varie souvent entre 12 et 84 mois, voire même jusqu’à 120 mois pour certains modèles qui coûtent plus de 37 000 euros.

Il faut savoir que si le véhicule bénéficie d’une garantie de plus de 5 ans, il peut être plus judicieux de prolonger la durée de remboursement afin d’alléger le montant des mensualités.

Le type de crédit peut faire varier les mensualités

Le nombre de mensualités est également à définir en fonction du type de crédit.

Il est, par exemple, tout à fait possible de ne pas emprunter l’intégralité du prix du véhicule. C’est ce que les spécialistes appellent alors « prêt avec valeur résiduelle ». Il reste par conséquent une partie de la voiture non financée, qui équivaut souvent à 30 ou 50 % de celle-ci. Ce procédé a pour principal avantage d’offrir des mensualités plus faibles. Cependant, il ne s’avère intéressant que si vous comptez revendre ou amortir votre véhicule après 4 ou 5 ans d’usage. En effet, au terme du contrat de crédit, vous devez payer la valeur résiduelle à l’organisme de crédit.

Le financement auto classique est une formule qui permet d’acquérir la totalité de la valeur du véhicule par le biais d’un crédit. Il n’est pas exigé d’apporter un fonds personnel même si le fait de disposer d’un petit pécule permet généralement d’alléger le nombre de mensualités.

Avant toute souscription, il est recommandé d’estimer le montant de vos revenus. D’en soustraire les dépenses annuelles et de calculer vos possibilités en termes de mensualité. Quand vous obtiendrez le résultat. Essayez d’évaluer si le montant obtenu est suffisant. Sur un remboursement de 2 à 5 ans, pour acquérir le véhicule souhaité. Cela vous évitera toute déconvenue.

Type de voiture et mensualités idéal pour un crédit auto

Tout d’abord, le prix d’un véhicule neuf est sensiblement plus élevé que celui d’une occasion. En outre, les organismes de crédit en Belgique tiennent compte de l’âge de la voiture dans leur offre de crédit. C’est pourquoi le TAEG d’un prêt pour acquérir une automobile neuve est plus intéressant que pour une occasion. Une voiture au prix élevé nécessite souvent une durée de crédit plus longue. Ce qui a pour effet de réduire le taux d’intérêt. Les banques exigent des garanties pour offrir un financement à long terme. Si vous comptez rembourser votre emprunt pendant plus de cinq années. L’établissement bancaire peut être amené à demander des garanties supplémentaires. Pour pallier la baisse de la valeur du véhicule au fil du temps.

Enfin, en matière de crédit auto, chaque cas est unique. Pour vous éviter de procéder alors à des calculs interminables et pour bénéficier rapidement des meilleurs conseils en terme de crédit, n’hésitez donc pas à contacter nos courtiers spécialisés. Une analyse détaillée sera réalisée afin de vous offrir les solutions les plus adaptées à votre situation. Et répondant parfaitement à vos besoins.

Le mois de novembre est entamé et avec lui son cortège de pluies. Les premières températures fraîches annoncent un hiver qui sera long et froid. L’hiver dernier avait été rude et long. Souvenez-vous des températures négatives qui nous avez suivi jusqu’en avril et le retour des beaux jours seulement au mois de juillet. Beaucoup de belges avaient vu leur consommation de mazout de chauffage exploser. Malheureusement cet hiver rude se couplait avec une forte augmentation des prix des carburants en ce compris du prix du mazout de chauffage. Mauvaise nouvelle pour le budget des ménages…

Que coût un litre de mazout de chauffage aujourd’hui ?

Ce mercredi 6 novembre 2013, le prix du litre de gasoil de chauffage est de 0,83 €.

Quelle est la tendance récente ?

  • Ces dernières années le prix du gazoil a frotement augmenté avec la raréfaction de la production pétrolière.

Un constat inquiétant…

  • En 2005, le litre de gasoil de chauffage coûtait en Belgique 0,52 €.
  • En 2008, ce prix était augmenté à 0,79 € soit une hausse de près de 50%.
  • En 2012, le coût du litre de gasoil de chauffage avoisine les 0,90 €.
  • Ces derniers mois, les prix ont évolué comme suit : +99,4 % en un mois ; +112,6 % en 3 mois ; +104,7 % en 6 mois.

Pourquoi les carburants sont-ils devenus si chers ?

Le marché mondial

Nous consommons de plus en plus de carburant. La demande augmente mais l’offre diminue. Cela est surtout dû aux limitations de la production par les pays producteurs de pétrole (OPEP).

Le fisc

Il n’est pas à plaindre. L’Etat belge s’enrichit également à chaque litre que nous consommons L’ensemble des accises, des taxes sur l’énergie et la TVA ne représentent pas moins de 56% du prix d’un litre de diesel. Et pour l’essence, cela monte à 67%.

Comment réagir face à une telle hausse ?

En réalité le consommateur a peu de moyen de défense car il subit les prix d’un marché qu’il ne contrôle pas. En outre, c’est l’Etat belge qui détermine la fiscalité.Néanmoins, certains fournisseurs font des réductions intéressantes dès que vous commandez une grande quantité de gasoil : 2.000 l par exemple.

A cet égard, certains consommateurs regroupent pour passer des commandes importantes ensemble. C’est une bonne idée.

Le Crédit Populaire Européen vous donne un coup de pouce !

Dès ce mois d’octobre 2013, nous lançons notre grande action mazout. En effet, nous vous offrons la possibilité de financer l’achat de votre commande de mazout par un financement du type prêt à tempérament – paiement mensuel de votre mazout. Vous aurez la possibilité d’emprunter à un taux d’intérêt attractif à partir de 1.500 € et de rembourser votre financement sur une période pouvant aller jusqu’à 24 mois ! Un financement de 1.500 € représente une commande de 1.666 litres de gasoil au cours du jour.

Exemple de Financement : Prêt à tempérament de 1.500 € – TAEG de 9,95 % – en 24 mois – Mensualité de 68,88 € soit un coût total après 24 mois de 1.653,12 €. Votre financement sur 24 mois vous coûte donc 153,12 € !

D’octobre 2013 à avril 2014 : notre société vous offre en cadeau une carte essence de 25 € pour tout crédit mazout.
Astuce : n’attendez pas la dernière minute pour passer commande car c’est bien connu, le prix du litre de gasoil augmente pendant l’hiver en fonction d’une consommation qui s’accroît. Vous voilà donc prévenu !

L’année 2013 en Europe s’annonce encore difficile sur le plan économique. C’est la crise des dettes souveraines en Europe qui  frappe directement les marchés du crédit.

En effet, alors que l’on croyait avoir obtenu des avancées importantes en novembre 2011 dans la solution de la crise grecque, les déficits publics se rappellent déjà à notre bon souvenir. C’est maintenant l’Espagne qui inquiète : l’économie espagnole s’est contractée de 0,3% lors des trois premiers mois de l’année par rapport au quatrième trimestre 2011. L’Espagne est donc officiellement retombée en récession. Le gouvernement espagnol a reconnu vendredi vivre “peut-être un des moments les plus durs pour son économie” mais s’est voulu optimiste pour l’avenir.

L’agence d’évaluation financière Standard and Poor’s a dégradé lundi les notes de neuf banques espagnoles, dont Santander et BBVA, ainsi que celle de la confédération des caisses d’épargne (Ceca), après avoir abaissé jeudi la note souveraine de l’Espagne de deux crans de A à BBB+. Le chômage en Espagne n’en finit plus de battre des records dépassant à ce jour les 24% de la population.

Les gouvernements européens ont décidé de s’attaquer aux problèmes des déficits publics et il n’aura échappé à personne que des plans d’austérité ont été adoptés un peu partout en Europe. En Belgique le budget 2012 a prévu de réaliser 15 milliards d’euros d’économie. Hélas, cette crise financière frappe de plein fouet l’économie réelle. L’indice de confiance des consommateurs est en berne et le pessimisme ambiant n’encourage pas les ménages à la dépense. De même, les PME éprouvent des difficultés croissantes à se financer.

Impacts sur le crédit

Les effets sont patents : Tant les demandes de crédit (-19,39 %) que les crédits octroyés (-24,10 %) ont régressé au cours des trois premiers mois de l’année. Le marché hypothécaire s’est replié au cours du premier trimestre 2012, par rapport au trimestre précédent, à la suite de la suppression de certains incitants fiscaux.  L’UPC constate également que le nombre de crédits de rénovation (environ 12.600) a chuté de près de moitié tandis que le nombre de crédits à la construction a baissé d’un tiers (environ 5.500). Le montant des crédits octroyés est lui aussi en baisse (-10,66 %).

Les courtiers en crédit pourraient être une solution pour bon nombre d’emprunteurs. En effet, les courtiers en crédit n’obéissent pas à la logique bancaire et l’octroi de crédit est leur seul métier à la différence des banques. De plus en plus de personnes se tourneront vers les courtiers indépendants qui sont moins stricts dans l’octroi des crédits.

Au Crédit Populaire Européen nous disposons d’une spécialiste en crédit hypothécaire (Mme Jacqueline Legrand – 30 ans d’expérience) dont le professionnalisme et la disponibilité a déjà fait les beaux jours de bon nombre de nos clients. C’est l’approche individuelle sur mesure qui fait la marque de fabrique reconnue du Crédit Populaire Européen.

batibouw

L’immobilier est considéré depuis toujours en Belgique, comme un bon placement. Il faut dire qu’entre 1980 et 2010, l’immobilier prenait en moyenne 10%. C’est que communément, on a pu appeler les “Trente glorieuses”. À vrai dire, si l’on compare avec les investissements mobiliers, nous ne prenons aucun risque en affirmant qu’il s’agissait bien d’un placement rentable pour un bon père de famille, même s’il est évident qu’investir dans l’immobilier n’est pas toujours de tout repos. On pense aux locataires indélicats mais aussi à la vétusté, sans parler de l’évolution importante des normes en matière de préservation de l’énergie. En 2014, l’investissement immobilier est-il toujours aussi justifié ? Quelles sont les perspectives à moyen et long terme ? À l’approche du prochain salon Batibouw, nos consultants répondent à ces questions.

Le marché immobilier subit la crise

La croissance du marché immobilier existe toujours mais elle n’est plus comparable à ce que nous avons connu pendant les “Trente glorieuses”.

Les maisons

Sur l’ensemble de l’année 2013, le prix annuel des maisons était de 233.959 € soit une augmentation de 3,2 % par rapport à 2012. Sans surprise, le prix des maisons est plus élevé à Bruxelles (410.194 € en moyenne) qui est suivie par la Flandre (250.281 €) et par la Wallonie (176.176 €).

Les appartements

Pour 2013, le prix moyen des appartements était de 204.181 € en Belgique, avec de très grandes différences en fonction des régions : 155.610 € en Wallonie (+1,7%), 204.402 en Flandre (+2,1%) et 228.408 à Bruxelles (+4,2%).

Conclusion

L’immobilier reste un marché en croissance mais cette croissance n’est plus comparable à ce que nous avons connu par le passé. Bruxelles reste le meilleur endroit pour investir. La qualité de l’endroit choisi reste fondamentale. Attention, la rentabilité d’un investissement immobilier repose sur plusieurs critères (évolution à long terme de l’endroit choisi, qualité des matériaux utilisés, qualité de vos locataires).

Investir dans l’immobilier ?

Choix qui reste intéressant si l’on cumule la plus-value réalisée sur le long terme et la rentrée d’argent lié à la location. Attention toutefois à acheter un bien de bonne qualité, adapté aux normes environnementales, localisé dans un endroit porteur et à la qualité de vos locataires.

Perspectives sur le long terme

Sans pouvoir prédire l’avenir, on peut dire certainement que la population mondiale ne fera qu’augmenter et l’espace se raréfier. Les phénomènes de concentration urbaine, tant sur un plan social que sur un plan professionnel, ne font que s’amplifier.

Les prix devraient donc continuer à augmenter mais plus dans les mêmes proportions que pendant les trente dernières années. Une croissance de 2 à 4 % l’année nous paraît plus raisonnable.

30 ans de présence sur le marché immobilier

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